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lundi 17 janvier 2011 |
Alors qu'un gouvernement de transition doit être dévoilé, lundi, les immigrés tunisiens veulent apporter leur soutien à leur pays. La classe politique française observe la situation tunisienne avec un silence gêné. Et pour cause, ils étaient nombreux en France, de droite comme de gauche, à vanter les mérites du régime de Ben Ali. Un conseiller de l'ancien président tunisien raconte au "Monde" l'"atmosphère délétère" qui régnait avant la chute brutale du pouvoir. La Banque centrale de Tunisie dément la rumeur venant de Paris selon laquelle la famille du dirigeant déchu aurait emporté une importante quantité d'or dans sa fuite. La diplomatie française a opéré un virage majeur sur le dossier tunisien, contrainte de s'adapter à un enchaînement d'événements qui l'a dépassée et mise en porte-à-faux. ET AUSSI |
Idées Editorial du "Monde" La promesse d'une nouvelle sécurité sanitaire Chronique "France" La gauche face à l'écueil de la présidentielle |
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